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Modulo huit (comme la fin d'un cycle).
Je ne pense qu'à Elle. Je ne vis que grâce à Elle, grâce à son visage et ses formes. Je l'aime mais j'ai dit "Oui..." quand elle a dit "On arrête ?".
Est-ce qu'on est tellement masochistes au point de se priver volontairement de ce (ceux) qu'on aime ?
Est-ce qu'on se déteste tellement au point de se complaire à se plaindre de notre malheur (qu'on est seul à avoir décidé de laisser entré) ?
Maintenant Elle passe devant moi, dos nu, et la nouvelle règle est : "Tu as envie de lui faire un petit bisou plein de tendresse comme tu le faisait autrefois ? Et bah tu peux pas ! T'es niqué !"
Et comme tout, ça passera... C'en est presque triste. Le Temps détruit tout: les montagnes, les humains, les plus belles histoires d'amour comme les plus gros chagrins d'amour...
Le Temps détruit tout... ou presque ! Car le Temps ne détruit pas les belles histoires (c'est d'Elle...).
Pour la dernière fois: Je t'aime (et je pleure).
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Commentaires
3 ans et demi plus tard
Les choses ont bien changées... mais en bien, c'est le principal. Tu ne liras surement jamais ce message, ou alors dans de très longues années. C'est facile de répondre quand on parle dans le vide (potentiellement). Je suis "content" de tout ce qui s'est passé, de tout, de ce qui a fait mal entre autre. Ca fait du bien de se sentir en vie et heureux malgré les coups que l'on se prend. Ca fait du bien de se rendre compte qu'on est pas en sucre. Bref, that's life !
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ca fai mal de lire ca...Javai pa pleuré autan depui kelke mois...si tu savai a kel poin je men veu.Je sui désolée bien ke le fai ke je dise ca ne change absolumen rien a ce ke g fai et a ce ke tu a ressenti...En tou k il y a plein de choses ke jignorai...Merci...